Le grand avantage de l'Institut Arabe des Chefs d'Entreprise (IACE) depuis sa création par Mansour Moalla il y a maintenant 30 ans s'est confirmé après la révolution, avec le foisonnement du paysage politique, économique et social. Une belle illustration en a été fournie jeudi à la faveur du Tunis Economic Forum, ouvert, par le chef du gouvernement Habib Essid et consacré à la mise en place des réformes : urgences et méthodes. On retrouvait parmi les participants des figures significatives des différentes séquences de la transition post-révolution. Mustapha Ben Jaafar, Mustapha Kamel Nabli, Imad Daïmi, Ridha Saïdi, pas moins de qautre anciens ministres des Finances (Jaloul Ayed, Hassine Dimassi, Elyès Fakhfakh, Hakim Ben Hammouda, en plus de Slim Chaker actuellement en poste), d'anciens ministres du gouvernement Mehdi Jomaa (Hédi Larbi et Najla Moalla Harrouche), d'autres anciens ministres (Afif Chelbi, Slim Tlatli...) Parmi les chefs des missions diplomatiques, les ambassadeurs de France, Royaume Uni, Suisse, Finlande, Portugal, Canada, Bulgarie et autres étaient au premier rang. Tout comme les représentants de l'Union européenne, la Banque mondiale, l'OCDE. Sans parler d'une présence massive de chefs d'entreprise, notamment ceux venus de différentes régions du pays.
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