Suite à la parution au journal Le Temps, d'un article intitulé : " Un grand bravo pour la SONEDE ", en date du 22 août 2009, et dans lequel le journaliste parlait des gênes occasionnées par les travaux entrepris par la SONEDE à la 7151 (rue Habib Echatti) à hauteur du campus universitaire, nous avons reçu les précisions suivantes, de la part de la SONEDE. " Cette action qui a été menée la nuit du mercredi 19 août 2009, était une opération de traversée de la chaussée à ciel ouvert et de raccordement d'une conduite sur le réseau. Elle a été effectuée suite à une autorisation de la direction de la voirie N°5/13/OY du 04 août 2009, et la publication d'un avis de coupure sur les journaux (voir Essarih du 18/08/2009, Le Quotidien, Le Renouveau, La Presse et Essahafa du 19/08/2009), précisant les zones et les horaires de coupure d'eau. Ces interventions nécessitent en moyenne huit heures de travail avec une coupure d'eau sur environ 400 logements. En plus, elles font appel à des engins bruyants tels que tractopelle, scie à sol, groupe électrogène, raboteuse, pompe vide fosse, camion poids lourd,.... et nécessitent une grande emprise de chantier chose qui peut entraver la circulation routière le jour. Ainsi, la SONEDE a opté pour l'exécution des travaux pendant la nuit et en dehors des pointes de consommation afin de minimiser les désagréments de la clientèle et d'éviter le blocage de la circulation pendant les heures de pointe. En ce qui concerne le jet d'eau qui s'est déclenché une heure après l'achèvement des travaux, il s'agit, en fait, d'une petite fuite survenue sur une jonction suite à la mise en charge de la conduite et qui a été aussitôt réparée. Ce genre de fuite survient souvent dans des situations pareilles notamment lorsque les matériaux des conduites à relier ne sont pas les mêmes ".
NDLR La SONEDE vient de le dire : les publications de l'avis de coupure sont parues partout sauf sur nos supports : Assabah et Le Temps. Et pourtant, ses cadres nous lisent, puisqu'ils répondent à nos articles. Quant à l'argumentaire accréditant la banalisation de la fuite qui survient souvent " la SONEDE répond là, en deux mots, à ce que nous avions développés en vingt lignes.