Le jury du prix « Ischia », présidé par M.Giancarlo Elia Valori, a décerné à M. Tarak Ben Ammar son prix pour l'année 2010. Un choix dicté par son parcours polyvalent et exceptionnel en tant qu'homme d'affaires, économiste, publiciste et producteur/éditeur en communication et média sur le plan international. Le jury justifie, par ailleurs, son choix par la richesse des activités culturelles de M.Ben Ammar et son engagement pour une véritable union pour la méditerranée. Le jury reconnaît, également, que le récipiendaire n'est pas qu'un grand leader en Europe, en Afrique et en méditerranée mais aussi, un excellent communicateur social et un homme qui a voulu et pu créer une télévision méditerranéenne fort appréciée dans le but de favoriser l'ouverture du peuple maghrébin sur de nouveaux horizons culturels et la création d'un espace commun pour le progrès. Lors de la cérémonie officielle de remise de ce prestigieux prix, le lundi 5 juillet 2010 dans l'ile d'Ischia, M. Ben Ammar a exprimé sa satisfaction et sa fierté et a déclaré à l'occasion : « Je suis fier et honoré de recevoir le prix « Ischia » de journalisme en méditerranée. Etre primé par un jury de valeur, qui compte, entre autres, le grand écrivain David Grossman, est un grand honneur pour moi . Le prix Ischia représente, parfaitement, les objectifs pour lesquels je me suis consacré tout au long de ma carrière notamment l'instauration d'un dialogue et d'une communication entre les peuples à travers les domines des médias, des affaires et de la finance (…) En ce début de 21ème siècle et au moment où on continue à chercher une meilleure conception du monde, je demeure, on ne peut plus convaincu, de l'importance stratégique de la méditerranée pour assurer le lien économique, politique et culturel entre l'Europe, l'Asie et l'Afrique d'autant plus que nous assistons à l'émergence de nouvelles puissances à l'instar de l'Inde, la Chine et le Brésil (…) J'ai toujours cru en un monde sans frontières et aspiré à un futur où nos croyances, nos valeurs et nos intérêts convergeraient vers un même objectif à savoir celui de léguer à nos enfants un monde meilleur que le notre ».