Un voisin excédé par les bruits de pétard a tué un jeune de son immeuble qui célébrait le 14 juillet. La victime âgée de 25 ans a été tuée hier vers 1h40 du matin, dans une cité HLM de Gentilly dans le Val-de-Marne. Le jeune homme s'amusait avec des fusées avec une quinzaine d'autres personnes. "Ils faisaient beaucoup de bruit. Ils tiraient avec leurs engins sur tout ce qui bougeait", raconte une retraitée. Le ton est monté. Quand, un voisin serait descendu de chez lui muni un couteau pour se plaindre du bruit. Il aurait été agressé à coups de tesson de bouteille. Il décide alors de répliquer beaucoup plus violemment. Un jeune est tué de plusieurs coups de couteau et un autres est grièvement blessé. Soupçonné d'avoir tué son père le jour de leurs retrouvailles Un jeune homme de 17 ans a été placé en garde à vue mardi. Il est soupçonné d'avoir tué son père à coup de sabre alors qu'il ne l'avait pas vu depuis près de 10 ans. Cet adolescent, âgé de 17 ans et demi, était placé en famille d'accueil. Et depuis dix ans, il n'avait plus revu son père. Lundi, après-midi, père et fils se sont retrouvés à Neuville-de-Poitou, dans la Vienne. Le matin, une première rencontre avait été organisée entre eux, à Poitiers, en présence d'éducateurs. Selon une source judiciaire ces "retrouvailles entre le père et le fils s'étaient bien passées". L'après-midi, ils devaient passer deux heures ensemble. Ils se sont retrouvés dans la maison de la famille d‘accueil quand le drame est survenu. C'est la propriétaire de la maison qui a fait la macabre découverte. Le corps du père gisait dans une chambre de la maison, un sabre planté dans le thorax. Son fils après lui avoir porté plusieurs coups avec un sabre japonais katana a pris la fuite. Il a ainsi braqué une automobiliste avec un couteau. Il s'est installé au volant à sa place, en la prenant en otage. Cette dernière a été libérée près de deux heures après. C'est elle qui a alerté la gendarmerie. L'adolescent a été interpellé et placé en garde à vue hier. Selon le procureur de la République, depuis le début de sa garde à vue l'adolescent "est comme prostré, il semble ailleurs". Tout en ajoutant: "Il reste beaucoup de zones d'ombre dans ce dossier. On ne sait absolument pas ce qui a pu se passer dans le pavillon". L'adolescent va être examiné par un psychiatre.