La Faculté des sciences juridiques et politiques de Tunis-El Manar a été le théâtre, ce jeudi 5 avril, d'un échange d'actes de violence entre des étudiants de l'UGET et d'autres de l'UGTE. Les deux parties se renvoient les responsabilités du déclenchement de ces actes. En attendant une enquête des autorités de tutelle, si cela pouvait se faire, il serait souhaitable que ces mêmes autorités prennent les mesures et les précautions qui se doivent pour que le campus universitaire d'El Manar ne devienne pas une seconde faculté des lettres de La Manouba. Force est de reconnaître cependant que ces actes se répartissent de manière apparemment étudiée entre des établissements de grand poids symboliques en affluence et en représentativité estudiantines.