Le pays du soleil Levant est représenté par pas moins de 13 entreprises de renommées mondiales, de Hitachi à Toshiba en passant par KDDI, NEC, Sharp, Panasonic et autres NTT et NiCT. Toutes ces entreprises sont venues au Sommet mondial sur la société de l'information avec leurs dernières trouvailles, qui de la téléphonie mobile, qui de la technologie dans le domaine de la télémédecine Selon M. Shouji Ogasawara, senior manager , à travers ce sommet, le Japon est venu montrer sa perception de la société de l'information de demain, avec des technologies les plus avancées. Ce qu'illustre bien le pavillon japonais sous le slogan anglo-saxon 'Toward the realization of a Ubiquitous Network society'' ou U-Japan. Outre les nouvelles technologies, 'nous avons amené des technologies à même de permettre le développement des pays du tiers monde '', a souligné M. Ogasawara. Comme pour dire que le Japon n'a pas oublié les pays en développement. Ceci dit, dans cette marrée technologique nipponne, nous avons eu un coup de cur pour le portable mobile 'Osaifu-Keitai'' signifiant, mot à mot, 'portefeuille portable''. La raison est toute simple : ce portable est à la fois un téléphone, un portefeuille comme son nom l'indique, et peut jouer le rôle d'une carte de crédit, d'Internet shopping, de clé pour ouvrir votre porte, de carte payement pour les billets d'avion, de train, de cinéma Hélas, il y a un revers de l'association de ces fonctionnalités, c'est que cela pose un problème de confidentialité, car toutes les données concernant le détenteur de ce gadget sont connues de son fournisseur d'Internet. Ce qui fait que, même au Japon il n'y a que quelques privilégiés qui le possèdent aujourd'hui. Une véritable technologique, mais qui a son lourd tribut : des conséquences incalculables, surtout en de perte de cet appareil ! Bien entendu, le management de DoCoMo, la société productrice de ce mobile pas comme les autres, promettent de mettre en place le plus rapidement possible un système permettant de garantir la sécurité des utilisateurs de 'Osaifu-Keitai'', afin qu'il soit possible de le commercialiser à une large échelle, aussi bien au Japon mais également dans le reste du monde.