Aujourd'hui, les autorités municipales de Bizerte semblent avoir définitivement éradiqué le problème épineux des commerces anarchiques. Elles se doivent désormais de s'attaquer à de nouveaux cas qui portent atteinte à la salubrité publique. D'abord, celui qui a été évoqué sur nos pages, sous le titre « A Bizerte, les vaches sont plus heureuses qu'en Inde » et qui a trait à ces dizaines de ruminants, entre bovins et ovins, qui infestent les cités résidentielles. Un autre danger est dernièrement apparu sous forme de meutes de chiens en liberté qui écument notamment les plages et les cités environnantes. Les habitants lancent un appel pressant aux autorités municipales à travers les médias afin qu'ils prennent cette affaire avec le sérieux requis, leur santé et leur sécurité et celles de leurs enfants étant en grand danger. Pour notre part, nous avons relevé non sans quelque effroi, l'existence au milieu de baigneurs de pitt bulls, lesquels, quoiqu'en laisse, suscitent beaucoup de frayeur parmi les passants et les estivants. Cette espèce de chiens est particulièrement dangereuse. Dans nombre de pays, leur élevage, voire leur simple présence, a été tout simplement interdit. M. BELLAKHAL