De nouveaux commerces voient le jour sur les hauteurs de sidi Bou Saïd. Des salons de thé, des sorbetiers, des restos ainsi que les traditionnels shops d'artisanat, de bambalonni et les cafés ! Pourtant, le loyer défie toute raison et les frais fixes de tout commerce font fuir les épiciers, les boulangers et autres commerces vitaux qui ont carrément disparus du Capri tunisien. D'ailleurs, beaucoup de vieilles maisons sur le parcours piétons se transforment en commerces. Mais on aimerait bien que ces rues qui grouillent de monde soient préservées. Les cahiers de charges doivent être plus "stricts" afin de préserver ce "quartier" hautain, certes, mais assez original et presqu'unique ! Et, comme on ne peut échapper aux loisirs qu'on s'atèlle à ce qu'ils soient bien faits...