Décidément, c'est la mode, le licenciement par SMS ou par le biais d'une communication au portable. Après l'ex –coach béjaois, Hédi Mokrani qui dut apprendre son limogeage sur l'écran de son portable, c'était lundi, le tour de Tarak Thabet de connaître le même sort, suite à un appel téléphonique. Ce genre de comportement traduit un manque de civisme de la part de certains responsables et surtout un manque de courage de leur part. Normalement, pareilles décisions auraient dû être prises, en présence des parties concernées. Une question de déontologie, ni plus ni moins. Raouf CHAOUACHI fradj ben hassine