Jusqu'à présent l'indicateur de référence utilisé pour juger le développement économique d'un pays est le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) mais durant les dernières décennies on a remarqué dans la majorité des pays une augmentation du nombre des chômeurs accompagné d'une augmentation de la dette étrangère et suivi par des malaises et des problèmes sociaux qui ont déboulonné et renversé plusieurs régimes et gouvernements malgré un taux de croissance positif de leurs produits intérieur brut. Comme les transferts d'argents des non-résidents vers leurs pays ne seront ni épargné ni consommé donc il ne participeront pas à la croissance de la consommation et à la croissance de la production donc à la création de nouveaux postes d'emploi, là où ils ont été généré, par contre les rapatriements d'argents des nationaux résidents à l'étrangers participent à la croissance de la consommation et à la croissance de la production donc à la création de nouveaux postes d'emploi.
Et les transferts chaque année des non-résidents d'une partie de leurs avoirs vers leurs pays d'origine et les rapatriements des nationaux résidents à l'étranger d'une partie de leurs avoirs à l'étranger, permet d'obtenir à partir du produit intérieur brut (PIB) le produit national brut (PNB).
Sachant qu'à l'échelle nationale toute création du produit national brut (PNB) se réalise par un certain nombre de postes d'emplois. Et comme l'endettement étranger, qui est nécessaire surtout durant les périodes de relance de l'économie et de lutte contre le chômage, participe en partie à la création du produit national brut et crée quelques postes d'emplois par la dynamique d'échange qu'il crée et cela qu'il soit destiné à la consommation ou à l'investissement. Alors pour que durant une période; (l'année); pour créer de nouveaux postes d'emplois et pour qu'il n'y aura pas de destruction de postes d'emplois il faut que la différence entre le produit nationale brut d'une année de référence (l'année n+1) et le produit nationale brut de l'année qui l'a précédé (l'année n), soit supérieur à la dette étrangère contracté durant l'année de référence (l'année n+1) et cela en plus d'un taux de croissance positif du produit intérieur brut pour la même période pour sauvegarder au moins, avec la mondialisation, la concurrence internationale et la libre circulation des biens et services, les postes d'emplois des entreprises étrangères et leur effets bénéfiques sur l'économie du pays.
Comme le produit national brut évolue annuellement selon un taux variable. Alors, pour qu'il n'y aura pas de destruction de postes d'emplois et pour créer de nouveaux postes d'emplois pour réduire le nombre des chômeurs d'une façon continue pour que les demandes des ménages et des entreprises ne chutent pas et soient toujours en hausse pour que la croissance économique soit toujours maintenue et afin qu'aucune crise financière ne se reproduit avec ses conséquences désastreuses, il faut que, le taux de croissance du produit national brut d'une année de référence (l'année n+1) par rapport à l'année qui l'a précédé (l'année n), soit supérieur au rapport de la dette étrangère contracté durant l'année de référence (l'année n+1) par le produit national brut de l'année qui l'a précédée (l'année n) et cela en plus d'un taux de croissance positif du produit intérieur brut.
Et le rapport de la dette étrangère contracté durant une année de référence (l'année n+1) par le produit national brut de l'année qui l'a précédée (l'année n) est, pour l'année de référence (l'année n+1), le taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN), pour créer de nouveaux postes d'emploi, pour réduire le nombre des chômeurs et pour éviter les crises financières, économiques et sociales.
Ce nouveau agrégat et indicateur macro-économique, à savoir le taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN), établie et déterminer à partir des agrégats macro-économique déjà utilisé et qui leurs est complémentaires, sera à la fois un repère et un outil nécessaire et de prudence à la disposition des décideurs financiers et des décideurs politiques car il leurs facilitera la réalisation des objectifs socio-économiques fixés et promis et leurs facilitera actuellement de réduire le nombre des chômeurs et de dépasser le plus rapidement possible les crises financières, économiques et sociales et aussi de prévoir les crises donc de prendre les mesures et les dispositions nécessaire pour les éviter, par des contrôles et des comparaisons continues, faciles et rapides du taux de croissance du produit nationale brut par rapport au taux de croissance nécessaire du produit nationale brut (TCN), pour les prises de décisions financières, économiques, sociales et politiques nécessaires pour élever et pour garder le taux de croissance du produit national brut au-dessus du taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN) par la correction à la hausse du taux de croissance nécessaire du produit nationale brut (TCN) à chaque dette étrangère contractée; par l'égalité, par les encouragements, les aides et le soutien de toutes les institutions et surtout des gouvernements à tous les agents économiques et sans aucune discrimination ; et actuellement en Tunisie par le changement et l'actualisation de quelques articles de lois pour rendre l'environnement socio-économiques plus favorable à la production qu'a la spéculation qui est la cause de la majorité des crises et des problèmes financiers, économiques et sociales et surtout car c'est la production qui permet de créer à l'échelle nationale les postes d'emplois, de réduire le nombre des chômeurs et permet d'améliorer les avoirs en devises donc le taux de couverture des importations par les exportations; et aussi par les réparations rapides et directes, sans passer devant les tribunaux, par les établissements étatiques et les institutions qui sont sous leurs tutelles, tel que les banques, des dommages matériels et morales qu'ils ont causées par leurs fautes avant ou après la révolution de la dignité à toutes personne physique ou morale, pour rendre plusieurs chômeurs à leurs activités et pour participer à l'effort nationale de croissance du produit nationale brut pour rendre l'environnement socio-économique favorable aussi aux développements et à la création des projets donc à la création de nouveaux postes d'emplois donc à la réduction du nombre des chômeurs par les moyens et les facteurs de production nationaux existant et pour encourager les étrangers à investir dans notre pays.
Ainsi on arrive à la certitude que pour minimiser le nombre des chômeurs, par la création de nouveaux postes d'emplois, pour dépasser puis éviter les crises financières économiques et sociales, il faut introduire le taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN) dans toutes les études et les analyses financières macro-économiques pour porter le taux de croissance du produit national brut a un niveau supérieur au taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN) et cela par la conjugaison des apports, des travaux, des décisions et des activités constructifs, positifs et égalitaires de tous les créanciers de tous les résidents, et aussi par des demandes et des revendications logiques et raisonnables de la part de toutes les institutions et de tous les citoyens et surtout en évitant toutes les demandes et les revendications de blocages, de destructions et qui poussent à la délocalisation.
Et l'utilisation du taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN) ne permet plus à un taux de croissance positif du produit intérieur brut de cacher un taux de croissance du produit national brut inférieur à un taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN) et ses conséquences financières, économiques et sociales désastreuses; ne permet plus aussi de masquer l'arrivée des crises financières, économiques et sociales et de s'étonner de leurs apparition; et surtout ne permet plus de perdre du temps, de l'argents et d'autres moyens à chercher d'autres issues de sorties des crises financières, économiques et sociales, dont les problèmes du chômage, que de porter le taux de croissance du produit national brut a un niveau supérieur au taux de croissance nécessaire du produit national brut (TCN).