Des activistes ont appelé le gouvernement transitoire à Tunis à créer un ministère pour l'émigration à fin de traiter sérieusement ce dossier. Ces activistes ont critiqué le traitement de ce phénomène par la police et son attribution au ministère de l'Intérieur. Ils ont par ailleurs insisté sur la necessité de créer une relation équilibrée entre les citoyens des deux rives de la méditerranée en indiquant les multiples abus de droits vis à vis des émigrés clandestins à Lampaduza.