La chargée de mission au cabinet de la ministre de la femme, Samia Dawla a déclaré que l'examen de la loi visant la protection de la femme de la violence, a été l'occasion de modifier l'article, décrié, 227 bis, qui stipulait qu'il était possible au violeur d'échapper à la justice en épousant sa victime. Elle a, par ailleurs, précisé qu'un article sera ajouté au texte de loi interdisant au violeur de s'approcher de sa victime à moins d'une certaine distance. Concernant les peines stipulées par le nouveau texte de loi, Samia Dawla a annoncé qu'elle varient de 20 ans de réclusion à la perpétuité, en cas de récidive.