Votre analyse est bien faite mais il me semble qu'elle omet (peut-être exprès) un paramètre important: que le football est la scène politique de rechange ou le Tunisien peut s'exprimer quasi librement, s'engager pour tel ou tel, critiquer, désapprouver,.... Et si le Tunisien s'intéresse aussi fortement au foot, c'est qu'il ne peut pas ou ne veut pas s'intéresser à autre chose. Car si c'était possible, le foot redeviendra un sport du dimanche, passionnel certes, mais de dimanche quand même. Il faut oser poser la question. Assyl Dhifi
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