Les « Frachich » ont trouvé en ce fruit leur bonheur. L'un d'eux a réalisé un exploit en exploitant à fond toutes les composantes de ce fruit. Tout d'abord le fruit lui même exporté vers l'Europe, la raquette ensuite communément appelée « Dhalfa » exportée vers le marché mexicain où elle est très prisée comme principal ingrédient pour des restaurants spécialisés. Enfin les restes sont utilisés ans l'industrie cosmétique. La figue de barbarie, et sa fameuse tabia, qui ont été il y a quelques décennies décriées comme des signes de sous développement prennent, aujourd'hui, leur revanche en étant rentables économiquement écologiquement et préservatrices dans l'utilisation de l'eau.