Samia Abbou, député du CPR à l'Assemblée nationale constituante a exprimé ses craintes de voir l'Etat de droit se transformer en “Droit de l'Etat” après l'inscription du terme “l'Etat fondé sur les bases de l'Islam et ses objectifs”. Elle a aussi critiqué la non-détermination des principes fondamentaux de l'Islam car ça permettra d'ouvrir la porte à des interprétations indiquant que dans ce cas, la Constitution ne sera pas un texte juridique supérieur de l'Etat mais que ce sont les perceptes de l'Islam qui le seront.