Borhène Bsaïess semble être toujours aussi intraitable quand il s'agit de défendre son pays, surtout, devant les pseudo-journalistes et chroniqueurs de la soi-disant chaine qatarie Al Jazeera, la chaine qui s'est assignée, ou à qui « on » a choisi comme principale, et quasi unique mission, de détruire et de semer la mort et le chaos dans les pays arabes. Et Borhane Basaïess sait de quoi il parle quand il aborde le sujet d'Al Jazeera. Il ne les connait que trop, et eux, aussi, ne le connaissent que trop et ne l'appréhendent, lui et ses répliques toujours aussi cinglantes, que trop. Avant, ils le redoutaient et redoutaient ses interventions quand il « osait » se présenter sur leur propre plateau, pour les narguer et pour les confondre dans leurs mensonges, avec son art inimitable du verbe et de l'à propos. C'est dans le cadre de ces interminables duels que les qataris avaient, pour entacher l'image de leur trouble fête, fini par le cataloguer comme étant le défenseur attitré de son maître Ben Ali. Mais cette fois-ci, Borhane Bsaïess leur a montré qu'il était, surtout, le défenseur de son pays, et qu'il était toujours, aussi virulent du moment qu'on osait s'attaquer à son petit bout de Tunisie. Surtout quand l'affront émane d'un pseudo journaliste qui ne respecte nullement l'éthique de son métier, et qui est capable de débiter tous types de mensonges et d'insultes, du moment que çà faisait plaisir à ses bienfaiteurs, les régents du minuscule émirat du Qatar. En effet, Borhane Bsaiess, n'a pas pu se retenir pour répondre à l'affront lancé par le pseudo journaliste Fayçal Al Kacem, mercenaire d'Al Jazeera, en profitant du plateau télé qu'il anime depuis quelques jours sur Nessma TV, en s'adressant à ce soi-disant journaliste pour lui rappeler sa situation de fauteur de troubles et de mercenaire au compte de ses maitres du Qatar, dont la mission a été et est toujours, de détruire les pays arabes, y compris son propre pays, la Syrie. Au final, Bsaïess s'est permis d'achever son interlocuteur en le défiant de pouvoir, comme lui, se promener dans les villes de son pays. Il l'a défié de pouvoir faire deux pas à Damas ou Alep ou, même, a-t-il ajouté, dans les fiefs de ses protégés les miliciens islamistes chargés par ses patrons de détruire la Syrie. Sacré Borhane Bsaïss ! On peut l'aimer ou ne pas l'aimer. On peut lui en vouloir ou ne pas lui en vouloir... Toujours est-il qu'il an a mis du baume sur le cœur, gros comme çà, des tunisiens, à l'occasion de cette riposte qui cingle encore comme une gifle magistrale sur la face anémiée de Fayçal Al Kacem. Sacré Borhane Bsaïesse, car malgré tout, il continuera encore longtemps, à animer les cauchemars de Fayçal Al Kacem et ses semblables, comme ceux de leurs donneurs d'ordres, les nababs du Golfe.