Une retraitée de 65 ans a témoigné de sa dernière expérience traumatisante en prenant le train qui fait le trajet de Sousse à Tunis, le vendredi 05 mai 20017. En effet, habituée à prendre ce train, le retard de 35 minutes ne la dérange pas, contrairement à ce qui va suivre. Elle déclare : « Bon, normalement il devrait quitter à 13h15 mais il a quitté à moins 20. Ce n'est pas un problème on est habitué au retard ». Puis elle poursuit : « en première classe, la climatisation ne fonctionnait pas, il y avait des touristes qui ont littéralement brûlé et suffoqué, ils ont commencé à s'agiter partout cherchant à ouvrir les fenêtres du train pour aérer un peu ». Notre témoin poursuit : « Nous sommes finalement arrivés Dieu merci, nous attendions l'ouverture des portes du côté du quai quand nous nous sommes rendus compte que celles-ci se sont ouvertes du côté opposé qui donne sur les rails. » Selon notre témoin, qui rappelons-le, est une dame âgée de 65 ans, elle était chanceuse de trouver un jeune étudiant qui lui a porté sa valise et l'a aidé à descendre doucement sur le gravier, à une hauteur conséquence : « moi c'est un cas, d'autres n'ont pas trouvé de l'aide ... je me suis alors dirigée vers l'homme en uniforme, à côté de la sortie et je lui ai demandé, est-il normal de nous faire descendre du côté des rails ? Il a répondu : « soyez compréhensive et avancez madame, allez, allez... » ». De cette expérience, la dame a retenu la négligence sur tous les plans de la SNCFT, qui dénigrent ses clients d'abord de par ses retards, l'absence de climatisation dans le train, la descente du côté des rails qui met considérablement en danger les passagers, et enfin en minimisant toutes ses erreurs et miser sur l'indifférence. Déclaration de la dame: Votre navigateur ne prend pas en charge l'élément audio.