Par Tunisie Numérique | Il y a 1 minute .. jadis, les femmes de Chenini-Tataouine faisaient la cueillette ou plutôt le ramassage des olives dans les jessours du Dahar et par la suite elles procédèrent à l'extraction de l'huile d'olive de terroir à domicile sans faire appel aux services des huileries souterraines du village. Le broyage se pratiquaient manuellement à l'aide d'une " Guergaba" en pierre (meule), la pâte ainsi obtenue est placée dans une "kossaa" (récipient en bois), on y ajoutait de l'eau tiède, le dépôt est essoré dans un tissu propre (kettana) pour en extraire davantage de principe actif. Le surnageant doré d'huile vierge première "sans-pression à froid" ainsi obtenu est recueilli à la louche pour un usage culinaire immédiat. à ce propos je lance un défi: Nos ingénieurs, nos polytechniciens sont-t-ils en mesure de s'inspirer de cette pratique ancestrale de la femme rurale du Djebel pour mettre au point un nouveau procédé qui permet aux agriculteurs de rentrer de la cueillette des olives avec leur provision toute prête d'huile d'olive dans les bidons ou encore mieux dans les jarres. Partagez1 Tweetez Partagez 1 Partages Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!