Le ministre des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle, Samir Dilou, est revenu, vendredi 24 mai 2013, sur les déclarations du député Sadok Chourou à la séance plénière à l'ANC, et selon lesquelles le FMI impose à Ennahdha l'exclusion des salafistes de la vie politique. (lire notre article) Samir Dilou a indiqué sur Shems FM que ces déclarations constituent des craintes plus qu'une réalité : « Les propos de Sadok Chourou sont dénués de tout sens ». Le ministre des Droits de l'Homme et de la Justice transitionnelle a rappelé que la souveraineté de la Tunisie est au dessus de tout.