Les entreprises tunisiennes prouvent de plus en plus leurs performances sur l'échelle mondiale et régionale et ce grâce à des savoir faire chez les dirigeants de ces entités mais le milieu d'affaires dans le monde demande plus de compétences. C'est dans ce sens qu'on peut mettre le coaching, un métier non encore reconnu pour le top management en Tunisie. La Fédération Internationale de Coaching (ICF) définit le coaching professionnel comme un partenariat continu entre coach et client. Ce partenariat est gage d'accompagnement, lequel permet aux clients d'atteindre des résultats dans le cadre de leurs vies professionnelles et personnelles. Le coach vise toujours d'aider son client à améliorer sa performance et à valoriser la qualité de sa vie. « Dans ce cadre fait sur mesure, je vous accompagne dans l'atteinte de vos objectifs avec une démarche à la fois pratique, rigoureuse et empreinte de souplesse. » affirme Mme Chettaoui. Ainsi, le métier de coaching en Tunisie se confirme par cette 1ère accréditation de l'ICF (The International Coach Federation) attribuée à Mme Leila Chettaoui qui est déjà la première Coach Professionnel ACC en Tunisie, Praticienne certifiée en PNL (Programmation Neurolinguistique), Coach Professionnel TD/AH (Déficit de l'attention avec ou sans Hyperactivité) et forte de plusieurs années d'expériences à titre de Manager et de General Manager dans l'Industrie. Un profil de prestige permettant à cette jeune femme d'œuvrer comme coach exécutif en privilégiant à la fois le développement personnel et professionnel des personnes. Elle a découvert dans le coaching une approche systémique qui permet de rejoindre cette complexité et de solliciter les multiples ressources qui s'y logent. Mme Chettaoui parle de son expérience dans le coaching pour atteindre une méthode d'intervention capable de diriger l'esprit et les actions des dirigeants vers des objectifs clairs. Reste à voir si les dirigeants des groupes et sociétés tunisiennes trouvent la valeur ajoutée du coaching que cette compétente peut leur servir, mais n'est-il pas temps de revoir un peu nos méthodes et manières de gérer ?