Suite à notre «Pourquoi?» en date du 12 janvier sous le titre : «Des constructions anarchiques, un fléau endémique», nous avons reçu un courrier de la municipalité de Hammam-Chatt en ces termes : «J'ai l'honneur de porter à votre connaissance que le doléant est sans ignorer que la commune de Hammam-Chatt (et non Hammam-Plage) n'épargne aucun effort pour intervenir à temps et prendre les mesures d'usage conformément à la réglementation en vigueur. S'agissant du cas de l'avenue Ahmed-Chaouki, la commune est intervenue à temps pour arrêter les travaux avant de prendre et mettre en exécution une décision de démolition en date du 2 novembre 2009 sous le n°3835/09. La commune a également intenté une action en justice en date du 8 août 2009 à l'encontre de l'intéressé pour récidive et entrave à l'exécution d'un arrêté municipal».