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Légère secousse tellurique à Sidi Bouzid
Rayons et ombres
Publié dans Le Temps le 21 - 01 - 2010

Une secousse tellurique d'une magnitude de 3,6 degrés sur l'échelle de richter, a été enregistrée hier à 10h 53 mn (heure locale) dans la région de Sidi Bouzid. Elle a été ressentie par les habitants de Sidi Bouzid et de Jelma.
Les analyses préliminaires des stations sismologiques de l'institut national de la météorologie, situent l'épicentre de la secousse à 35,10 degrés de latitude au nord et de 9,41 degrés de longitude à l'est de Sidi Bouzid.
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Bouargoub : Vers la création de trois nouvelles zones industrielles
La zone industrielle de Bouargoub créée en 1982 sur 29 585 ha englobe 38 pôles industriels dont 12 orientés vers l'exportation avec 3607 postes de travail assurés aux régionaux.
Seulement, avec la construction du nouvel aéroport d'Enfidha à quelque 20km de la ville et de la proximité de Bouargoub de l'autoroute, les demandes des investisseurs locaux et étrangers ne cessent d'échoir sur les bureaux des responsables de la ville.
D'où la formulation et la volonté de ces derniers de créer trois nouvelles zones industrielles dans la région dans le dessein de satisfaire le plus clair de ces demandes avec bien évidemment les retombées grandement positives sur la ville et sur le gouvernorat de Nabeul. Sachant que ces trois zones appartiennent à l'Etat et ne sont exploitées par des particuliers que temporairement. A souligner également que l'Etat peut à tout moment récupérer ses domaines quand le profit pour la collectivité est assuré.
Une première zone de 50 ha en face de la zone industrielle déjà existante sise entre la voie ferrée et l'autoroute.
Une deuxième zone située à la cité Hached entre Bouargoub et Bordj Hfaiedh de 48 ha, et une troisième à Bordj Hfaiedh de 50 ha.
M.S.R.
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Kairouan : Exploitation pertinente des Zawiyas
Kairouan compte un grand nombre d'anciens petits oratoires de quartiers et un nombre important de Zawiyas édifiées généralement à proximité d'un tombeau appartenant à un illustre personnage de la ville.
Quelques Zawiyas sont actuellement habitées par des familles, d'autres furent aménagées pour contenir les services de plusieurs administrations dont ceux de la délégation régionale de la culture et de la sauvegarde du patrimoine (Zawiya de Sidi Ben Khoud), de ceux d'un dispensaire (Sidi Abdel Kader) alors que l'association de la sauvegarde de la médina a choisi depuis sa création la zaouwia de Sidi Abid Ghariani pour y élire domicile tandis le mausolée de Sidi Siouri a accueilli les activités de l'association des mathématiques.
D'autres Zawiyas à l'instar de celle de Sidi Amor Abada ; furent aménagées en musées...Une initiative louable qui mérite d'être étendue pour accueillir les services des autres associations... Sans domiciles fixes.
Construites généralement en briques pleines ces Zawiyas n'ont besoin ni de climatisation en été ni de chauffage en hiver.
N.Kh
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Application des lois en vigueur
Toutes les villes cernées par des routes périphériques interdisent l'accès des semi remorques à l'exception de la ville de Kairouan. Une ville où l'infrastructure routière nécessite des soins constants pour rendre fluide une circulation de plus en plus dense et où les camionneurs osent malgré la présence de plaques de signalisation interdisant leurs passages défier les lois en vigueur en empruntant les routes urbaines pour gagner vite Dhraa tammar ou la route de Raccada (Des raccourcie qui font gagner aux camionneurs quatre kilomètres environ). Ils y garent même leurs engins transportant carburant, matériaux de construction et autres produits dans des quartiers habités qui sont devenus des quartiers dortoirs pour ces véhicules. Ces derniers ne tiennent pas compte d'un mégot de cigarette q'un couche tard peut jeter à tout moment et qui peut déclencher un grave incendie.
Sans oublier bien sûr les crevaisons de roues qui pourraient se produire à tout moment de la nuit et perturbent la tranquillité des habitants endormis. Il ne faut pas non plus oublier les répercussions négatives du passage de ces véhicules sur l'environnement
Rien pourtant n'explique le passage de ces gros engins en ville. Les routes périphériques sont de très bonne qualité et il y existe sur leurs abords toutes les commodités à savoir des restaurants des cafés des vendeurs de makroudh et même du pain tabouna.
L'application des lois en vigueur est nécessaire pour empêcher le passage en ville de ces semi- remorques indésirables.


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