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L'incident est clos
Environnement - Travaux problématiques dans l'espace maritime de Rafraf
Publié dans Le Temps le 18 - 11 - 2011

• Une proposition pour remédier à l'aspect inesthétique de l'écran rocheux
• Vers la création d'une association civile de sauvegarde de la plage
Nous avons dans notre livraison du 16 octobre dernier, fait l'écho de la grogne des habitants de Rafraf (sous le titre « Explosion de colère des habitants de Rafraf »). Cela suite aux singuliers travaux entrepris par un particulier, à la corniche de Rafraf, en plein domaine maritime.
Cette colère devait se traduire, sur le terrain, par un mouvement collectif de foule, réclamant à l'unisson l'arrêt immédiat des travaux ainsi que la libération et la restitution du bien collectif anarchiquement « privatisé ».
Tout est remis en place
Comme déjà promis, nom revenons sur cette affaire pour en connaître l'évolution et l'issue.
Commençons par dire, comme on dit, tout est bien qui finit bien. Puisque la sagesse et la retenue ont fini par prévaloir. Et le restaurateur-cafetier, promoteur du projet en question n'a pas tardé à se plier aux diktats réglementaires, se conformant par là-même à la volonté populaire. Cela en remettant en place la barrière rocheuse ôtée, barrière, destinée à freiner l'avancée maritime et à préserver la côte.
Cela n'a pas d'ailleurs, malgré but, mis l'intéressé à l'abri des poursuites judiciaires, engagés d'emblée par les maîtres territoriaux de la côte, entendez les services régionaux de l'Agence de Protection et d'aménagement du littoral (l'APAL)
Un «Dégage !»… immérité
Le délégué de Ras-Jebel territorialement compétent, ayant fait l'objet d'un cinglant « Dégage ! » lors du mouvement général de protestations contre les travaux en question et le laxisme administratif, nous a fait part de sa satisfaction quant à l'issue de l'affaire, ayant apaisé les esprits.
Il nous semble, quant à nous, que ce « Dégage » est immérité et trop sévère pour un responsable local contre lequel on ne détient aucune preuve, ni commencement de preuve de complicité avec le contrevenant…
Car, sincèrement dit, quelle est l'autorité administrative, quel que soit son rang dans la hiérarchie administrative, pourrait s'aviser, par les temps qui courent (où tout le monde est tout yeux et tout oreilles), à couvrir une si maladroite initiative ?
D'une pierre, plusieurs coups
Par ailleurs, il ne serait pas vain, de soulever en point de haute importance, lié à la physionomie de la corniche de Rafraf, ayant beaucoup perdu de sa beauté et ses attraits millénaires. Cela depuis que ce mur rocheux mastodonte « insolent » avait été dressé à perte de vue. Et si l'on comprend bien et souscrit aux raisons de cette «intrusion » incontournable, destinée à protéger le littoral contre l'avancée de la mer, l'on ne comprend pas, par contre, pourquoi l'on n'a pas cherché à remédier à l'aspect inesthétique, voire même malséant et choquant de cette barrière !
Pour ce faire, il aurait été, à notre sens, fort judicieux et profitable à plusieurs égard de mettre à niveau ces rochers pour y aménager de belles terrasses, pieds dans l'eau, moyennant finances, au profit de la cagnotte publique locale, par les restaurateurs et cafetiers, établis, front de mer, à la corniche. Et l'on aurait ainsi fait d'une pierre, plusieurs coups…
D'ailleurs, conscients des incuries et lacunes constamment déplorées à la corniche de Rafraf, l'élite intellectuelle et scientifique de la cité, est en voie de lancer une association de sauvegarde de la corniche de Rafraf, cherchant à soutenir et à apporter une contribution d'appoint à l'effort public (de la commune et de l'APAL confondues), n'ayant pas su, jusqu'ici, répondre aux attentes de la population autochtone et aussi à l'immense public estivant.
Larbi DEROUICHE

Lacs Séjoumi et Ichkeul
Taux normal de mortalité d'oiseaux sauvages
A la suite du constat d'un taux de mortalité anormal d'oiseaux sauvages enregistré, notamment, dans les lacs Séjoumi et Ichkeul, la Direction Générale des Services Vétérinaires du Ministère de l'Agriculture et de l'Environnement a dépêché une commission de spécialistes qui a remis un rapport attribuant ces mortalités au botulisme.
Le botulisme est une cause habituelle de mortalité des oiseaux sauvages. Des cas de botulisme sont enregistrés tous les ans dans plusieurs pays et sont en liaison avec des paramètres environnementaux influençant le développement de la bactérie : température supérieure à 22°C, défaut d'oxygène dans l'eau, présence de matière organique, faiblesse ou variation du niveau d'eau.
Le toxine responsable de la mortalité de ces oiseaux sauvages n'est pas transmissible à l'homme. Cependant, la direction générale des services vétérinaires rappelle, par principe de précaution, de ne pas manipuler à mains nues les animaux atteints ainsi que les cadavres et d'éviter de les faire manger aux chiens.


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