En effet, malgré les moyens limités et les importantes taxes et impôts municipaux impayés par une frange des habitants mais aussi par certains promoteurs qui se considèrent au-dessus des lois et qui veule pas payé le seuil minimum de la taxes d'occupation temporaire liés aux travaux de leur chantiers durant des années et qui s'élève à de nombreux millions de dinars... ? La municipalité la ville de Bizerte qui n'a pas cessé d'améliorer l'infrastructure économique de la ville, a certes après l'éradication du commerce anarchique des marchands ambulants qui n'ont cessé d'envahir durant des années les places et artères du centre ville, n'a pas manqué de réussi un autre grand pari, celui l'épineux problème des marchands de légumes et fruits établis dans les rues et places tout autour du marché. Il fut traiter avec l'efficacité requise avec l'aménagement judicieux du parking avoisinant qui vient d'accueillir tous les marchands de légumes et fruits et libéré les rues et places avoisinantes, ce qui semble avoir exaucé les vœux d'une population bizertine à vide de calme et de sérénité et par la même facilité la circulation autour du marché et rendre la joie de vivre aux habitants de ces quartiers. Une action d'envergure qui mérite tous les éloges, mais qui devrait être suivie d'une vigilance accrue de la part des autorités municipale pour dissuader les récalcitrants à réinvestir de nouveau les artères de la ville. C'est au tour des commerçants réguliers d'envahir trottoirs et chaussés ? Effectivement, après l'éradication du commerce anarchique, ce fut au tour des commerçants réguliers notamment ceux des artères de Cheikh Idriss et Sassi Al Bahri de défié toute réglementation communale pour envahir avec leurs marchandises de tous genres, trottoirs et chaussés, rendant la circulation au milieu de la chaussée en cote à cote assez difficiles pour les piétons et les véhicules...? Espérons que la municipalité trouvera les solutions idoines pour pouvoir libéré ces trottoirs et chaussés accaparés illégalement par ses véreux commerçants. Danger canin Quand la prolifération des chiens errants touche les milieux urbains, les dégâts canins risquent de compromettre les équilibres communautaires et porter préjudice et même de grands dangers à la population, c'est pour éviter le danger canin qu'une large compagne régionale vient d'être lancée pour la lutte et l'éradication de ce fléau des chiens errants, vecteurs essentiels de la maladie infectieuse : la rage. D'ailleurs, tous les moyens humains et matériels ont été mobilisés pour la réussite de cette compagne qui est axée sur les points noirs ciblés des quartiers et cités des deux délégations de Bizerte et celle de Zarzouna, où des rondes des chasseurs sont effectuées en continu. Quand aux autres délégations elles ont été invitées d'organiser de leur coté des battues analogues dans les zones ciblés pour abattre les chiens errants, à raison de deux sorties hebdomadaires. Notons que les services concernés du gouvernorat font état de l'abattage de 380 chiens durant le mois d'août dernier et que 841 vaccins antirabiques ont été administrés, alors que seuls cinq cas de rage ont été signalés dans toute la région.