Par Khemaïs FRINI
Le projet de la Constitution rassemble tous les délires idéologiques, identitaires et religieux auxquels les Tunisiens s'en sont donné à cœur joie depuis le 14 janvier 2011. Tout le monde voulait y introduire ses propres (...)
Par Khémais FRINI*
Assurément la liberté n'est pas sacrée. A vouloir tout sacraliser on ne s'y retrouvera plus. Une sacralisation de plus et c'est l'overdose. Oui la liberté a ses limites. Le vrai problème de la société c'est de savoir qu'est-ce (...)
Par Khemais FRINI*
Après deux siècles de dynastie husseinite, un protectorat qui avait sévi pendant quatre vingt ans, et malgré une éclaircie salutaire induite par l'ère bourguibienne, les Tunisiens sont-ils encore captifs et risquent-ils de (...)
Par Khemaïs FRINI
«Les mouvements politiques ne reposent pas sur des attitudes rationnelles mais sur des représentations, des images, des mots, des archétypes…» (Milan Kundera)
La réalité post-révolutionnaire que nous vivons depuis près de 8 mois (...)
Par Khemaïs FRINI*
Quand les institutions de l'Etat fonctionnent, que la justice parvient à appliquer les lois au nom du peuple, que le gouvernement continue à assurer ses fonctions régaliennes et à exécuter les jugements rendus, on ne peut (...)
Par Khemaïs FRINI *
• L'important, c'est la prose…
Les Tunisiens, quelle que soit leur appartenance politique, sociale, culturelle ou religieuse, sont unanimes pour une nouvelle Constitution pour le pays. Les motivations de leur refus des (...)
• L'important, c'est la prose…
Par Khemaïs FRINI *
Les Tunisiens, quelle que soit leur appartenance politique, sociale, culturelle ou religieuse, sont unanimes pour une nouvelle Constitution pour le pays. Les motivations de leur refus des (...)
Par Khemaïs FRINI (*)
La perspective d'une Assemblée nationale constituante est de nature à exacerber les clivages idéologiques entre les Tunisiens à un moment où ils ont plus que jamais besoin d'unité.
Le peuple a vécu dans une paix civile et (...)